Le Clin D'oeil Morzine, La Pisse Du Guiers, Record Truite France, Départ Tour De France 2021, Magazine Animaux Sauvages, Marché De Lannion Exposants, A La Street Fargues Facebook, Lac Fleurs Des Champs, Lac Du Presset Lac D'amour, Elle Fait Parfois Sensation En 6 Lettres,

Au contraire, ce sont ces caricatures portées aux limites du ridicule – et parfois au-delà – qui font rire le public. Les hommes endossent la tenue complète: de la kippa au tallit, sans oublier les tsitsits et la barbe, pour une tenue… Mais si l’humour pointe l’oreille ici ou là, il se fait discret, et l’on en reste souvent au … Il comptabilise actuellement environ 300'000 spectateurs. En effet, la fille s’énamoure progressivement, mais tout ne se déroule pas comme on s’y attend. Lorsqu’elle essaie de le caser et lui présente toute une série de prétendantes au mariage, Motti se rebelle et dévie de son parcours traditionaliste qu’impose la religion juive orthodoxe. Lieu dans lequel il rencontre une non-juive, sublime et extravertie, dont il tombe amoureux. Et comme pour lui expliquer ce qui se passe, Motti s’adresse souvent directement au spectateur, tout au long de son épopée libératrice.

Noémie Schmidt, interprétant la fille dont Motti tombe amoureux, se donne en effet la peine de jouer sur deux plans: celui de la bombe fatale et celui de la jeune sensible qui sait voir les gens au-delà des apparences. Le film a été le plus important succès du cinéma suisse en salles en 2018. Les femmes ont, elles aussi, leurs vêtements: perruque ou voile, blouse, jupe et bas-collants.

C’est ainsi que l’on reconnaît le jeune Mordechai, surnommé Motti, quand il se rend à ses cours d’économie à l’université. Und was hat es mit de. Heureusement que les jouissances sont elles aussi universelles, parce que Motti le prude va connaître les joies du sexe, et même là le film réussit à être drôle. Au plus grand damne de sa mère, ronde et autoritaire, qui se démène pour lui organiser des rencontres avec des gentilles filles de la communauté. Cette fiche est une ver- sion abrégée du dossier en alle-mand.

Franchement, on s’y retrouve même si l’on a pas les problèmes d’un Juif dont la famille vit dans la rigueur de l’orthodoxie.

Netflix en a acheté les droits mondiaux et il le diffusera encore en 2019.

Et pour des Juifs, ce sont des Juifs! Il y a un peu de recherche avec la caméra qui filme de face pour laisser place à une adresse directe de Motti au spectateur. Pas génial, mais sympa. Il tombe amoureux de Laura (Noémie Schmidt), une goïe qu’il a rencontrée sur les bancs de l’école.

Après tout, quelle que soit la culture ou quel que soit le cadre, la rencontre amoureuse et les souffrances qu’elle engendre sont toujours plus ou moins les mêmes.

Des apartés un peu complaisants… La réflexion sur l’intolérance fait long feu et si les comédiens - à l’exception de la mère, trop caricaturée - tiennent le coup et laissent transparaître, incidemment, quelques signes de sensibilité, on a de la peine à se sentir toujours de connivence avec eux. Mission accomplie sans doute. La tension monte et les échappatoires que l’adolescent imagine vont se multiplier.Le réalisateur suisse-allemand Michael Steiner s’est fait connaître par plusieurs comédies (Je m'appelle Eugen, 2005 et Grounding - Les derniers jours de Swissair, 2006). Motti (Joel Basman), jeune Juif orthodoxe, n’a pas de chance: sa mère, dans une stricte observance des rites de sa religion, se met en demeure de lui trouver une épouse (juive, bien sûr). Mission accomplie sans doute. www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19588724&cfilm=55400.html Tout une série de mésaventures mènent Motti à une crise d’identité qui lui donne l’occasion de découvrir la vie, et les non-juifs. Les hommes endossent la tenue complète: de la kippa au tallit, sans oublier les tsitsits et la barbe, pour une tenue sobre dans l’ensemble qui met la chemise blanche et le costume noir à l’honneur.

Et pour des Juifs, ce sont des Juifs! Le scénario est plus subtil que cela.

Car tout ce qui est de l’ordre de l’opposition aux parents et à la religion n’est pas forcément posé sur un piédestal. Sinon, la photographie joue beaucoup avec les paysages, de la Suisse aux trains et aux vaches jusqu’aux plages clinquantes de Tel Aviv. Les personnages sont volontiers caricaturés, les situations se veulent cocasses, mais certaines séquences s’étirent: celles, nocturnes, de bar-dancing sentent le déjà-vu, plusieurs scènes de sexe n’apparaissent pas indispensables et les effets d’images et de lumière(s) n’ajoutent rien au propos. L’amour lui-même a le mérite de ne pas être brossé sur un tableau d’idylle et de sentiments.

À l’université, il tombe amoureux de Laura, qui n’est pas juive, mais aventureuse et effrontée.