C'est la période du frai.

D'autres paramètres liés à la qualité des biotopes et au climat influeraient eux aussi sur cette diversité.Fin août, le développement des cellules de reproduction mâles et femelles est très marqué. Souchon, Y., Trocherie, F., Fragnoud, E., & Lacombe, C. (1989).

Salmo trutta, la catégorie truite de mer ; Jusque-là assez facile de s’y retrouver.

Le dévalaison, appelée aussi dispersion a lieu préférentiellement de nuit pour des raisons évidentes de discrétion.Une fois postées, les truitelles commencent la phase de croissance. aussi la prise en compte systématique de la migration des espèces piscicoles lors de l’installation d’ouvrages routiers sont les remèdes indispensables aux problèmes de montaison des truites vers leurs frayères. Tout aussi immédiatement, la femelle balaye vivement le substrat environnant avec sa queue à plusieurs reprises pour recouvrir les œufs fécondés du gravier protecteur.Une magnifique vidéo réalisée par Thomas Fishing (présentée sur sa chaîne YouTube) illustre à merveille le frai des Truites FarioLes truites sont affaiblies par les efforts successifs liés à la remontée du cours d'eau, contraintes de surcroît à se sous alimenter pendant leur migration. Un calcul permet d'envisager assez précisément la durée d'incubation en additionnant chaque jour la température de l'eau du lieu de ponte jusqu'à arriver à un total d'environ 420°C. Sa bouche, largement fendue, est garnie de petites dents pointues. Reproduction La reproduction se déroule en hiver. Contrairement au saumon atlantique, son pédoncule caudal est large, suivi d’une grande nageoire caudale faiblement fourchue. L’amplitude de ces déplacements peut être important de même que le retour d’un géniteur vers s zone de chasse peut être rapide.

À la mi-mars, période d'ouverture de le pêche à la truite, bon nombre d'alevins sont encore cachés dans les graviers des frayères sous leur forme émergente, encore invisibles aux yeux des pêcheurs.On peut aisément concevoir les dégâts occasionnés par un seul pêcheur remontant ces frayères les pieds dans l'eau dès l'ouverture.
A la naissance, l'alevin toujours protégé par les graviers, se nourrit de ses réserves qui seront résorbées en 4 à 6 semaines.

Le cycle complet de reproduction de la truite fario, de la ponte à l'autonomie de l'alevin, est donc compris entre deux et près de cinq mois, principalement en fonction de la température de l'eau. À ce stade, on ne parle d'ailleurs pas encore d'alevin, mais de larve de Truite Fario.

La truite fario a un corps de forme hydrodynamique qui est adapté à la nage en eau vive.

En effet, si l'on peut très bien voir par transparence le cœur battre et le réseau sanguin, les ouïes ne sont pas encore en fonctionnement et la larve respire à travers le sac vitellin.À soixante jours, la voici enfin sous la forme d'une micro Truite Fario. La femelle se positionne dans le courant et creuse une sorte de nid en déplaçant les cailloux avec sa nageoire caudale. Le développement de leurs cellules de reproduction semble lié à leur date de naissance sur la base d'un cycle de reproduction annuel assez précis.

De Kinkelin, P., Baudouy, A. M., & Le Berre, M. (1977).

Les efforts réalisés pour l’assainissement des ef˚ uents domestiques améliorent la qualité de l’eau. Fraie de Truites Fario. En cette période de fin d'hivernage, les eaux sont maigres en nourriture et cette dévalaison les livre, fragiles, à de voraces appétits qui les attendent dans chacun des trous d'eau qu'elles vont traverser jusqu'à enfin trouver un poste libre qu'elles devront à leur tour défendre ou quitter. Elle possède une zone de repos située dans un trou sous la berge ou sous une pierre, en chasse, elle va se placer nez au courant. La plus connue, salmo trutta linnaeus : La truite fario; Salmo trutta lacustris, c’est la truite de lac ! Les ovocytes, d'un diamètre de 4 à 5 mm et d'une couleur orange, seront immédiatement fécondés par la semence du mâle.

Certaines populations choisissent de migrer vers l'océan Atlantique Nord, où elle vont prendre une apparence proche du saumon. Malgré leurs aspects assez différents, ces groupes ne sont pas des sous-espèces mais forment une seule population dans chaque rivière ou ensemble de cours d'eau voisins où ils se reproduisentIl existe également plusieurs sous-espèces (qui peuvent se croiser) : Elle consomme aussi bien des invertébrés que des insectes aussi bien aquatiques qu’aériens. L'ensemble, qui occupe une très faible partie de l'abdomen, est d'une plasticité remarquable, à même d'adapter sa forme aux mouvements permanents et souvent extrêmes du poisson en activité.À la même époque, plus rarement ou plus difficilement visible, on trouve chez les mâles de toutes petites vésicules qui contiennent tout au plus quelques centaines de millimètres cubes de laitance, sorte de pâte cohérente et très souple, blanchâtre, aux limites du solide ou du liquide pour peu qu'on écrase ces vésicules entre les doigts.Dans un même cours d'eau, ces quantités et ces dimensions varient en fonction des individus, souvent en fonction de leur taille. Cette période est propice à observer d'apparentes stérilités chez des sujets à priori en taille et en âge de se reproduire.

Et pourtant c'est bien de la même espèce qu'il s'agit, quand bien même elle a son propre nom (truite de mer, truite saumonée, truite argentée). Année moy.

Ces rencontres confirment, en les extrapolant à la Vie, ces mots de Lord Edward Grey of Fallodon : « En matière de pêche, il y a deux mots qu'on ne devrait pas employer, à savoir : toujours et jamais.