Avec On est captivé et on ne voit pas le temps passer... Du coup, leur sort nous importe peu. Avec
Près de 130 morts et plus encore de blessés, presque uniquement des femmes.
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que c'est français !
(1.99 €) La mise en scène est confuse car l'action ne progresse pas logiquement, il n'y a pas d'attente, pas de suspens.
je vois bien qu'il y a un tourniquet comme porte principale mais bon.
Je trouve que l'idée était bonne et il y a avait du potentiel.
Suivre son activité Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : Avec Rôle : Marc-Antoine de Lenverpré Pour s’élever socialement, il prévoit de partir avec elle tenter sa chance en Amérique. Là on a enfin quelque chose qui ose un peu plus, c'est pas parfait mais au moins ya de quoi se mettre sous la dent !
Après avoir créé l'événement sur TF1, "Le Bazar de la charité" est maintenant disponible sur Netflix.
De son côté, Audrey Fleurot était devenue incollable sur le sujet en prêtant sa voix à un documentaire relatant la... Audrey Fleurot fait plus prostituée que femme du monde, les langages ne ...
Alors oui, tout n'est pas parfait, et certains anachronismes pointent parfois le bout de leur nez, que ce soit dans le langage, les manières ... mais dans l'ensemble, c'est plutôt bien réalisé, joué ... De La faute à trop de personnages mal définis au départ et dont les dialogues sont risibles car trop en décalage avec l'époque dans laquelle s'inscrit l'action . Tandis que TF1 décroche 41 des 50 meilleures audiences de fiction française en 2019, grâce notamment au succès de la mini-série...
La situation est confuse? il suffit, au préalable, de s'intéresser à la véritable histoire, à comment cette tragédie s'est déroulée (en 15 minutes ! Avec La série s’appuie sur un tragique fait divers survenu le 4 mai 1897 : le lendemain de son inauguration, un incendie survient au Bazar de la Charité et fait plus de 120 victimes. J'étais déjà amoureux d’Audrey Fleurot, là je craque!!!
Paris, 4 Mai 1897. Publiée le 26 novembre 2019
Les robes ont été créées par la costumière en chef Valérie Adda qui s’est notamment employée à moderniser les costumes d’époque. Pendant quatre jours, en ce début de mai 1897, des femmes de la haute société parisienne (aristocrates et grandes bourgeoises) ont pris place derrière des comptoirs en bois décorés de tentures et proposent toutes sortes d’objets, dont la vente doit profiter aux plus démunis.
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