S'il le faut, il nage bien et longtemps. L'ensemble du pelage a une coloration noire, grisâtre ou roussâtre, plus grise en été et plus noire en hiver. Il est renforcé par un os spécial, le prénasal, situé sous l'extrémité des os nasaux du crâne. Les plus fortes concentrations sont dans le Midi et en Corse.Le sanglier s'adapte à toutes sortes d'habitats pourvu qu'il y ait de la nourriture, une végétation haute où il puisse se dissimuler, de l'eau pour boire et prendre ses bains de boue.

Son lieu de vie. Dans la mythologie grecque, c'est sous les coups des défenses d'un sanglier que meurt Adonis, jeune homme aimé à la fois d'Aphrodite et de Perséphone. Diverses hypothèses ont été avancées pour expliquer son origine : risque de maladie transmise par la consommation de l'animal, danger de manger de la viande, qui se détériore rapidement sous des climats chauds, opposition entre les nomades, qui n'élèvent que des bovins, et les sédentaires, qui nourrissent des porcs... Mais aucune de ces explications ne fait l'unanimité.Selon les statistiques de la FAO (Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture), il y a plus de 950 millions de cochons domestiques à travers le monde (chiffres 2003), dont presque 470 dans la seule Chine, où le porc représente 80 % de la consommation de viande.Les premières tentatives de domestication du sanglier auraient été faites, 6 500 ans avant J.-C. au Proche-Orient. Le sanglier de 6 mois a le poil plus long, rude et roux : on l'appelle « bête rousse ». Hormis en période de rut, les mâles de plus de 2 ans sont plutôt solitaires.Dès que l'occasion se présente, les sangliers profitent des trous d'eau et des flaques pour se rouler dans la boue. Un mâle est dit « miré » vers l'âge de 5 ans, quand ses défenses (canines inférieures) se recourbent, ou lorsqu'un grès (canine supérieure) est cassé ou manquant et que la défense correspondante se recourbe jusqu'à pénétrer la peau.Le sanglier ne transpire pas, à cause de l'atrophie de ses glandes sudoripares. Il a été exterminé dans les îles Britanniques – avant d'y être réintroduit –, en Scandinavie et en Égypte. Si elle s'éloigne, il la poursuit puis pose son groin sur son dos. Les jeunes femelles ne quittent la harde qu'à la fin d'avril.Le sanglier est un omnivore qui se nourrit en grande partie de végétaux tout au long de l'année. La longueur du pas d'un sanglier adulte est de 30 à 40 cm.La famille actuelle des suidés compte cinq genres. Depuis, de nombreuses races ont été sélectionnées, car le cochon présente plusieurs avantages : sa maturité sexuelle est précoce, le nombre de petits par portée est important et il se nourrit de tout.L'Occident médiéval a été surnommé la « civilisation du porc », car les cochons circulaient librement dans les villes en consommant les déchets qu'ils y trouvaient.

L'importance des vers de terre (lombrics) dans les selles de sangliers, et donc dans leur alimentation, a également été montrée. La mauvaise vue est compensée par un odorat, une ouïe et un goût développés.Le pelage se compose de très grosses soies noires longues de 10 à 13 cm au niveau du garrot et de 16 cm au bout de la queue. Le rut du sanglier se déroule principalement au mois de décembre, sauf les années où la nourriture est très abondante, dans ce cas, il peut débuter mi ou fin septembre. L'ensemble du pelage a une coloration noire, grisâtre ou roussâtre, plus grise en été et plus noire en hiver. Pour allaiter, elle se couche sur le côté et les appelle avec un grognement bas et continu : chaque marcassin s'approprie une mamelle, qu'il stimule par des massages afin de faire monter le lait. Le cerf occupe les grandes forêts tempérées d'Europe, d'Afrique du Nord, d'Amérique du Nord et d'Asie. Les papillons sont aussi des animaux de la classe des insectes. Au L'interdiction de consommer du porc ou du sanglier imposée par l'islam est reprise de la tradition hébraïque. Elle serait plus importante pour les jeunes sangliers, sans toutefois dépasser 20 % de leur alimentation. La mue annuelle a lieu en mai-juin, plus tard chez la laie suitée. La mue annuelle a lieu en mai-juin, plus tard chez la laie suitée.

Dans les cantons à permis, la chasse n'est autorisée que pendant les derniers mois de l'année ; dans les cantons à chasse affermée, c'est le locataire de la chasse qui décide quand tirer les sangliers. Peu avant la mise-bas – celles d'un même groupe sont souvent synchrones –, chaque femelle gestante s'isole à l'abri d'un arbre ou d'un buisson épais et prépare un nid en forme de chaudron, parfois tapissé de végétaux. Si elle s'éloigne, il la poursuit puis pose son groin sur son dos. En forêt, il utilise toujours les mêmes passages, créant des coulées. Les gîtes, ou bauges, où il passe la journée, sont établis à même le sol ou légèrement creusés avec le boutoir et les pattes antérieures.

Il peut même habiter des zones de culture où la surface boisée résiduelle n'atteint que 10 %. Son poil est rêche, son duvet épais : son pelage varie selon les espèces, roux, noir ou grisonnant.