Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait Bande-annonce VF
La deuxieme partie bien que plus ou moins coherente ne rime a rien.
Une sorte de Hostel avec de vagues relans spirituels.
C’est cela que m’a évoqué ce film au delà même de son aspect sanglant et viscéral.Bien sûr ce film d’une grande noirceur questionne cette notion de martyr » et/ou de victime, au sens autant religieux, métaphysique , politique que psychique. Là où « Hostel » touchait juste (dénonciation intelligente d’une société vouée au divertissement, au narcissisme et à la recherche à tout prix du plaisir personnel), le film de Laugier sonne tout à fait creux : l’explication finale ne reste qu’un prétexte à un déchaînement de violence gratuite.
les effets psychiques d’un épouvantable traumatisme?
Et alors, le sang, la trace, l’éventuelle douleur paradoxalement viennent remettre un sentiment de réalité .C’est comme si les entailles provoquées avec un tel acharnement étaient alors le seul moyen pour ne pas mourir, pour se sentir vivant encore, pour ne pas disparaître dans l’effondrement de soi. L'auteur de la critique va meme a le qualifier de film d'auteur… Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire... Il n'y a aucun message, le jeu des acteurs oscille entre l'acceptable et le pathetique, le montage est chaotique. On continue donc les publications sur CF (surtout grâce au très prolifique Grand Prix cannois en 1997, le plus beau film d’Atom Egoyan émeut et envoûte, autant par sa mise en scène que par son sujet délicat. Plus Laugier fait mine d’entretenir le hors-champ pour mieux laisser l’horreur du contre-champ éclater sans qu’on s’y attende (on passe d’un quotidien morne et terrien à la froideur high-tech d’une chambre de torture), plus son film effectue le mouvement inverse en évoluant graduellement vers une ampleur thématique pour le coup insensée. du 20-10-2012 23:00:52 sur les forums de jeuxvideo.com
L’attaque corporelle est précédée d’un sentiment de déperdition de soi, dans une sorte d’hémorragie de souffrance qui détruit les limites de soi. La cinématographie, l'atmosphère et la tension débridée se combinent pour créer l'un des films les plus engageants de ce genre des deux dernières décennies... Le genre de chef-d’œuvre dont on sort avec le cœur en lambeaux… Si le festival d'Annecy est hétéroclite et nous laisse chaque année découvrir des chemins aussi insolites qu'inconfortables, il n'en oublie pas pour autant son jeune public.
Martyrs est un film d'horreur franco-canadien1,2 réalisé par Pascal Laugier, sorti en France le 3 septembre 2008. Découvrez la critique du film Ghostland de Pascal Laugier - En trois films, Pascal Laugier s’est imposé comme un des réalisateurs français les plus atypiques et Retrouvez toutes les dernières critiques sur le film Martyrs, réalisé par Pascal Laugier avec Mylène Jampanoï, Morjana Alaoui, Catherine Bégin. Sauf qu’aller de l’un vers l’autre n’obéit ici à aucune autre logique que celle de la transcendance (évoquée plus haut).
!le plus important dans cette histoire, c’est qu’ un groupuscule ait cru remarqué un état qu’ ils qualifient d’ état de grâce ou de sainteté.
Et puis un jour je suis tom - Topic Martyrs, besoin de précisions.
Ce film est fascinant, son ambiance est très bien maitrisée, le jeu d'acteur est superbe, la musique aussi, les costumes sont incroyables. C'est simple, si ce film avait ete realise par un americain on l'aurait qualifie de simple 'torture porn' mais comme le film est francais alors il doit y avoir une grandeur cachee dans le scenario. je n'aime pas le cinéma français et encore moins quand celui-ci s'essaie à l'horreur, un genre qu'il ne maitrise pas du tout, mais ce Martyrs a quelque peu redéfini la donne.